Powerslam, le Tabac du marin de FUU

Aujourd’hui, La Chaine de la Vape édite une news spéciale.

Nous souhaitons remercier les Jean's pour leur collaboration bénévole à Cocktail Zero. Leur enthousiasme désintéressé à participer à notre émission Cocktail Zero a rendu possible cette belle aventure. Leur expertise intègre nous a ouvert à la découverte de la magie des arômes, de la rigueur des processus de fabrication, et du monde des liquides en général. Leur optimisme inébranlable est un moteur pour Cocktail Zero.

La Chaine de la Vape tient à préciser la chose suivante :

Nous nous sommes mis d’accord sur ce point dès notre première rencontre. En échange de cette collaboration qui devait être rigoureusement impartiale, les Jean's ne seraient jamais invités pour parler d’un liquide de leur marque, FUU.

Alors, exceptionnellement, aujourd’hui, ce n’est pas Cocktail Zero, mais à titre personnel que je vais vous parler de leur nouveau bébé, un kit DIY. Et il mérite une bonne news. Toute ma connaissance des liquides m’a été enseignée sur le tas, en travaillant à leurs côtés. Je les remercie pour leur patience et leur générosité.

Dans la gamme Catch the flavors, de FUU, Powerslam, le Tabac du Marin !

Le kit que j’ai en test est constitué d’une part, d’un petit bidon 125ml de base en 4mg/ml de nicotine. C’est une base prête à l’emploi, en 60% Propylène Glycol et 40% Glycérine Végétale. Tous les composants sont au grade USP/PE, y compris la nicotine. D’autre part, un petit flacon de 10 ml de concentré d’arômes Powerslam, à diluer dans le petit bidon. Pas de risque d’erreur, il suffit de verser tout le contenu du petit flacon dans le petit bidon. Avant toutes choses, je vous demande de lire la mention légale imprimée sur l’étiquette apposée au dos du flacon.

J’ai donc effectué le mélange, j’ai nettoyé le petit flacon en le re-remplissant plusieurs fois avec la base préparée.

Vient ensuite le plus difficile. Après avoir refermé le bidon et l’avoir vigoureusement secoué, je l’ai ouvert, et posé sur une étagère. Et j’ai attendu trois bonnes heures que Powerslam se calme, que les arômes se détendent. Trois heures, c’est long.

Puis vient le moment crucial, le moment où l’on sent les planches du ponton qui tanguent, lorsque la croisière se termine…

Powerslam, le Tabac du Marin…

Sur dripper triple twist de nichrome 0,2, 8 tours sur mandrin de 2,5mm, simple coil de 1,2 ohm et mèche coton, mod méca 18500.

Saveur « old school » sec, blond et discret, presque ténu. Suivi immédiatement d’une pomme au four caramélisée sur sa tranche de pain beurrée. Même si la pomme caramélisée est immédiatement présente, l’étonnant assemblage de noisettes, amandes et vanille est superbement dosé, et trompe son monde. On a presque l’impression du caramel au beurre salé. La sensation en bouche est douce et agréable, le hit présent sans être ostentatoire (on est en 4mg/ml, mais sur dripper tout de même) la production de vapeur normale pour ce rapport PG/GV. Ce liquide à une longueur en bouche remarquable  : L’intensité du goût s’atténue assez vite, mais le « fantôme » des arômes s’attarde, donnant l’envie d’y revenir rapidement. Alors, allday, clairement, original, oui.

Powerslam passe très bien sur tout type d’atomiseur. Pas besoin de pousser trop la puissance. Par exemple, sur clearo Trend Vapes V8 de Ijoy, les saveurs sont identiques (à part l'intensité) à celle que j’ai expérimenté sur dripper, et ce dès 7 watts.

Powerslam, Le Tabac du Marin, c’est le dessert après la traversée, que l’on déguste au port avec les FUU, dans la chaleur et l’animation d’une auberge de Bretagne.

Jacques de Dripper